“aynı yalnızlık, aynı sessizlik. ve bu sefer engeli aşma ya da tersine çevirme umudu yok. üstelik hiçbir engel de yok. hiçbir şey. tanrım! nefes alıyorum, geceyi içime çekiyorum, gece ruhumdaki akıl almaz, hayal edilemez boşluktan içeri giriyor. ben gecenin ta kendisiyim.”
L’univers continue a tourner, avec le vide intemporel que l’entoure depuis le début de temps. Le vide le chasse depuis toujours, et le vide le chassera jusqu’a la fin du temps, sans cesse, sans doute, sans douleur et bonheur, sans succès mais aussi sans échec.
Pourquoi univers? Pourquoi continue de lutter contre et courir de le vide inescapable et impregnable? Où est votre raison? Où est votre réalité? Pourquoi vous-allez de l’avant sans regarder en arrière? De quoi fontaine de la Jeunesse, de quoi source d’espoir, de quoi pont de paix venez-vous?
Dites-moi, non. Dites-Nous où est votre destination? Dites-Nous pourquoi vous courez du vide? Dites-moi si c’est possible de comprendre votre mission impossible, si c’est possible de vous aider dans votre quête?
Dites-moi, univers d’espoir inébranlable, pourquoi je peux jamais trouver vos réponses?
Je vous demande, si vous avez le choix entre égoïsme et préservation de la race humaine, pourquoi avez vous choisi l’option incorrecte chaque fois?
S’il-vous-plaît
Nous Abandonne Et Vivre Une Fois De Plus
Je choisis de t'aimer...
Je choisis de t'aimer en silence...
Car en silence je ne trouve aucun rejet,
Je choisis de t'aimer dans la solitude...
Car dans la solitude, personne ne t'appartient, sauf moi,
Je choisis de t'adorer de loin...
Car la distance me protège de la douleur,
Je choisis de t'embrasser dans le vent...
Car le vent est plus doux que mes lèvres,
Je choisis de te retenir dans mes rêves...
Car dans mes rêves, tu n'as pas de fin.
-Jalaluddin Rumi-
Une petite merveille d'Anna de Noailles, en communion avec la nature.
Je choisis de t'aimer en silence...
Car en silence je ne trouve aucun rejet,
Je choisis de t'aimer dans la solitude...
Car dans la solitude, personne ne t'appartient, sauf moi,
Je choisis de t'adorer de loin...
Car la distance me protège de la douleur,
Je choisis de t'embrasser dans le vent...
Car le vent est plus doux que mes lèvres,
Je choisis de te retenir dans mes rêves...
Car dans mes rêves, tu n'as pas de fin.
-Rumi
Je me suis beaucoup fiée à mes instincts qui ont toujours été nobles; je me suis quelquefois trompée sur les personnes, mais jamais sur moi-même. J'ai beaucoup de bêtises à me reprocher, pas de platitudes ni de méchancetés. J'entends dire beaucoup de choses sur les questions de morale humaine, de pudeur et de vertu sociale. Tout cela n'est encore clair pour moi. Aussi n'ai-je jamais conclu à rien. Je ne suis pourtant pas insouciante là-dessus, je vous confesse que le désir d'accorder une théorie quelconque avec mes sentiments a été la grande affaire et la grande douleur de ma vie. Les sentiments ont toujours été plus forts que les raisonnements, et les bornes que j'ai voulu me porter ne m'ont jamais servi à rien.
George Sand.
Je ne suis pas insensible à la douleur comme tu le penses, j’ai appris à la maîtriser. Je ne suis pas sans émotions comme tu le penses, j’ai appris à les évacuer rapidement. Je n’ai pas eu une vie aussi facile comme tu le penses, j’ai appris à tourner la page. Je ne vis pas sur un nuage comme tu le penses, j’ai appris à aimer ma vie. Je ne me crois pas plus belle que les autres comme tu le penses, j’ai appris à m’aimer comme je suis. Je ne suis pas tant connue que tu le penses, j’ai appris à être à l’écoute des autres. Je ne suis pas aussi faible comme tu le penses, j’ai appris que la haine n’aide personne. Je ne crois pas connaître la vie plus que les autres comme tu le penses, j’ai appris à exprimer mes idées. Quand à toi, tu as infiniment plus de valeur que ce que tu penses, sauf que tu ne le reconnais pas encore.
-Belinda Santiago-